| 28èmes Rencontres Jeunes Chercheurs
Systèmes
2 et 3 juin 2025
à l’Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 (Maison de la Recherche) au 4, rue des Irlandais - 75005 PARIS.
Le thème sélectionné cette année est le suivant : « Systèmes»
La date limite de soumission des propositions de communication aux 27èmes Rencontres Jeunes Chercheurs de l’ED 622 est prolongée au 1er mars 2025.
Soumission des propositions :
Toute personne souhaitant réaliser une communication est invitée à soumettre un abstract d’un maximum de 3000 caractères espaces comprises (hors figure(s) et bibliographie) en français jusqu’au 1er mars 2025 à 19h (heure de Paris). Les propositions de communication devront être déposées sur :https://rjc2025.sciencesconf.org/.En choisissant l’option “Nouveau dépôt” vous pourrez saisir vos données personnelles (nom, prénom, affiliation). La proposition de communication est anonyme, merci de ne pas mettre vos nom, prénom et affiliation universitaires dans le fichier PDF que vous allez joindre à votre proposition.
Calendrier
Date limite de soumission :22 février 2025 1er mars 2025
Notification aux participants : Avril 2025
Dates du colloque : 2 et 3 juin 2025
SYSTÈME(S) Les 2 et 3 juin 2025 à Paris Créées en 1998, les Rencontres Jeunes Chercheur-e-s (abrégées en RJC) de l’école doctorale 622- Sciences du Langage composante de l’Université Sorbonne-Nouvelle (Paris 3) affiliée à l’Université Paris Cité propose annuellement aux jeunes chercheur-e-s inscrit-e-s en Doctorat ou en Master (mention : Recherche) de présenter leurs travaux de recherche sous forme de communications orales. Le thème choisi dans le cadre de l’appel à communications de cette 28e édition est « Système-s ». À l’aube du 20ᵉ siècle, la linguistique fut profondément et durablement marquée par l’intégration forte des notions de système et de systématicité, envisagées désormais comme des concepts fondamentaux pour appréhender la cohérence interne de la langue. Des linguistes tels que Ferdinand de Saussure, Gustave Guillaume et Antoine Meillet ont conçu l’idée de système comme étant à la fois inhérente à l’objet théorisé, la langue, et un attribut essentiel de la théorie qui l’étudie. Pour Ferdinand de Saussure, la langue est un système de signes organisé et régulé par des mécanismes de différenciation interne. Il accorde une place centrale au système phonologique, qu’il considère comme le modèle de différenciation par excellence (Saussure, 1916). Parallèlement, Gustave Guillaume développe l’idée d’un système concentrique, où la langue et ses usages sont perçus comme un objet plus vaste : un système de systèmes. Selon lui, la langue constitue une structure complexe composée de sous-systèmes interconnectés – ceux du morphème, du mot et de la phrase (Guillaume, 1964). Antoine Meillet, pour sa part, conçoit la langue comme un système de règles et de régularités en perpétuelle évolution, qui régissent la production et l’interprétation des énoncés. Sa vision systématique de la linguistique met en lumière la cohérence interne des éléments, la langue étant perçue comme un réseau de relations et de règles interdépendantes (Meillet, 1926, p. 52). Malgré leurs différences, les travaux de Saussure, Guillaume et Meillet convergent vers une compréhension renouvelée de la langue : non plus comme un simple ensemble d’éléments isolés, mais comme une structure dynamique et organisée, régie par des principes systémiques. La thématique de la vingt-huitième édition des Rencontres Jeunes Chercheurs laisse la porte ouverte à différentes perspectives pour une approche systémique en sciences du langage. L’objectif crucial est de permettre aux participant·e·s de présenter leurs approches par le truchement des propositions de communication inscrites dans ce domaine disciplinaire large, et ce, en leur appuyant sur les pistes proposées à titre indicatif et à la bibliographie indicative à titre illustratif. Six mots-clés : interaction, globalité, organisation, complexité, dynamique, croisement Axe n°1 : Description Quels objets théoriques mobilise-t-on lorsque l’on évoque le système linguistique – qu’il soit phonologique, morphologique, syntaxique – appréhendé selon une approche analytique traditionnelle, une approche expérimentale ou par le biais du traitement automatisé de corpus oraux et écrits (Blanche-Benveniste, 2010 ; Habert, 2000 ; Habert et al., 1997) ? Quelles en sont les composantes ? Comment ces dernières interagissent-elles en fonction du niveau de représentation : psycholinguistique (Garcia-Debanc et Fayol, 2002), neurolinguistique (Locke, 1997) ou cognitif (Elffers, 2012) ? Au-delà de la description des systèmes linguistiques, la sociolinguistique a aussi permis de faire apparaître des discriminations liées à la langue. A la suite des travaux de William Labov sur le Lower East Side à New York et le African American Vernacular English (1966), nous pouvons compter, entre autres, des travaux comme ceux de Monica Heller sur les minorités francophones au Canada (1994), ceux de Josiane Boutet sur la place du langage dans les lieux de travail et « organisations taylorisées » (2005), ou encore ceux d’Abdellali Hajjat sur la condition d’assimilation linguistique en vue d’une naturalisation, en France (2012), pour n’en citer que quelques uns. Des travaux en analyse du discours ont pu interroger la hiérarchisation produite par les rapports de genre, notamment dans le discours des sciences sociales (Michard, 2001), ou encore plus récemment les échecs et réussites discursives d’émancipation dans le rapport de genre (Trovato, 2023). Nous pourrions alors rapprocher les phénomènes langagiers discriminatoires décrits dans les travaux en sociolinguistique de ceux en sociologie sur les discriminations systémiques, décrites pour la première fois lors du mouvement pour les droits civiques aux Etats-Unis dans l’ouvrage Black Power. The Politics of Liberation (Carmichael, Hamilton, 1967). Axe n°2 : Acquisition Comment acquiert-on un système, comment celui-ci s’apprend-il, s’ancre-t-il graduellement en tant que représentation (sociale, discursive, didactique), et par quel(s) moyen(s) le processus de l’acquisition systémique (Yamaguchi, 2012) s’opère-t-il ? Dans ce deuxième axe, peuvent s’inclure la mécanique de l’acquisition des systèmes de sons et des structures supérieures du langage (Giacobbe, 1992) ainsi que celle du cadre institutionnel encadrant cette acquisition : contexte didactique institutionnel et idéologies linguistiques institutionnelles, tels que proposé dans les travaux d’Alby et Léglise (2016). On y inclut également l’étude des dysfonctionnements ou des défaillances apparentes du système, elles-mêmes systématiques ou systématisables, par exemple à travers l’étude des pathologies de la parole (Quemart, Macleod et Maillart, 2015), à travers différentes composantes de la grammaire en dé-re-construction (van der Lely, 2004). Axe n°3 : Modélisation Comment les chercheur·euse·s conçoivent-ils(elles) et représentent-ils(elles) les systèmes qu’ils(elles) mobilisent dans leurs travaux ? Quels outils méthodologiques et théoriques rendent possible la construction de ces modèles, de leur conception initiale jusqu’à leur application pratique, que ce soit pour l’analyse du discours, l’étude des réseaux d’interconnaissance ou le traitement automatique du langage ? Cet axe vise à explorer les stratégies de modélisation qui traversent différents domaines de la linguistique et des sciences du langage, comme le traitement automatique des langues – TAL (Poibeau, 2019 ; El Maarouf, 2011), la sociolinguistique (Agresti, 2023) ou encore la psycholinguistique (Garcia-Debanc et Fayol, 2002). Axe n°4 : Applications ~ mise en perspective Une fois le seuil de la recherche fondamentale franchi, quelles applications peuvent émerger des théories, modèles et descriptions en sciences du langage ? Par quels moyens ces systèmes peuvent-ils intégrer des applications concrètes, et quels défis théoriques surgissent lors de leur mise en œuvre ? Ce questionnement ouvre un champ d’investigation concernant l’implication concrète des approches linguistiques dans des domaines appliqués tels que la synthèse de la parole, la reconnaissance vocale ou encore le traitement automatique du langage (Damnati et Inkpen, 2021). Qu’il s’agisse de l’analyse des interactions sur les réseaux sociaux, de la structuration des conversations ou de la compréhension des attitudes conversationnelles des locuteurs, cet axe invite à interroger les défis, les enjeux et les avancées les plus récentes en matière d’applications linguistiques. De plus, cet axe entend explorer comment les théories pédagogiques peuvent s’adapter à des contextes d’enseignement diversifiés, en fonction des publics et des objectifs spécifiques (Mariscalchi, 2023). Quelles méthodes, inspirées par les théories pragmatiques et les modèles d’acquisition du langage, sous-tendent la conception des manuels et des programmes d’enseignement ? Une autre dimension de cet axe consisterait à examiner l’application du dialogisme (Bakhtine, 1929, 1978 ; Bres, 2019) et de la polyphonie (Ducrot, 1984 ; Nølke et al., 2004) en linguistique de l’écrit. Ces deux facettes de l’hétérogénéité énonciative, appliquées à un corpus littéraire, permettent d’explorer la multiplicité des voix et des perspectives dans le texte écrit. Les expériences pratiques recueillies dans ces domaines nous offrent également l’opportunité de réévaluer les théories et modèles en sciences du langage. Quels ajustements ou révisions ces retours d’expérience apportent-ils aux fondements théoriques ? Ce cadre vise ainsi à articuler les retombées des recherches en linguistique théorique avec leurs implications concrètes, tant dans le domaine technologique que pédagogique. Axe n°5 : Théories ~ histoire des idées Comment la notion de système en est-elle venue, historiquement, à s’imposer au cœur de la réflexion métalinguistique ? Par quelles transformations conceptuelles les descriptions antérieures, affinées au fil des époques, ont-elles permis de rendre systématique la réflexion sur la nature du langage (Koerner, 1978 ; Harris et Talbot, 1997) ? Ce cinquième axe vise ainsi à honorer la vision incrémentale de l’histoire des idées linguistiques, et ce, en retraçant plus en amont le flux continu des théories et des modèles descriptifs (Swiggers, 1997). Peut-on légitimement attribuer à la notion de système le fait d’occuper la pensée linguistique du XXe siècle (Begioni, 2018) ? Ou bien cette place n’est-elle qu’une construction rétrospective issue d’une approche qui privilégie certains courants, au détriment d’autres perspectives possibles (Mounin, 1966) ? En effet, les approches sociales du langage proposent une perspective critique sur la notion de système linguistique. Le terme de pratique langagière s’est notamment largement répandu depuis l’article de Boutet, Fiala et Simonin-Grumbach en 1976. L’idée est fondamentalement d’étudier la pratique communicative dans son ensemble, et ce sans essayer de les faire rentrer dans un système qui ne serait pas en mesure de rendre compte de sa complexité. Le courant francophone de la sociolinguistique n’est cependant pas le seul à remettre en cause la notion. Les études portant sur le multilinguisme sont elles aussi face à l’hétérogénéité des pratiques linguistiques (Auer, 1999), certaines approches proposent de ne pas séparer les langues et de considérer la pratique langagière dans son ensemble, à l’aide notamment des notions de répertoire (Busch, 2012) et de translanguaging (Wei, 2018). Les études adoptant une perspective postcoloniales, voire décoloniales, soulèvent l’ancrage géographique et historique de la notion de langue en tant que système linguistique fermé (Veronelli, 2015). En effet, l’étude descriptive de systèmes et le « sauvetage » des langues se fait souvent aux dépens des droits citoyens des personnes étudiées (Léglise, 2017) ou comme une façon de patrimonialiser les langues, cultures et peuples dans la continuité des pratiques coloniales (Cameron, 2007). Pour cette édition des RJC, nous envisageons que l’Axe n°5 constitue un méta-axe destiné à accueillir des communications aussi vastes que variées, donnant de l’espace autant aux approches critiques que pluridisciplinaires. Linguistes et chercheurs issus de disciplines connexes ou complémentaires à la linguistique (philosophie, philologie, informatique, cybernétique, mathématiques,mécanique) sont invités à y participer afin de proposer un cadre de réflexion structurant et externe, permettant de systématiser les perspectives offertes par les autres axes. Bibliographie indicative : ADAM, J.-M. (2002), « Modalisation », In : P. Charaudeau, et D. Maingueneau (dir.), Dictionnaire d’analyse du discours, Paris : Seuil, pp. 382–383. AGRESTI, G. (2023), « Vers la modélisation du contact sociolinguistique. Quelques considérations en terrain basque / gascon », Lapurdum, 24, pp. 17–36. AUER, P. (1999), « From code-switching via language mixing to fused lects. Towards a dynamic typology of bilingual speech », International Journal of Bilingualism, 3(4), pp. 309–332 BAKHTINE, M. (1929), Problème de la poétique de Dostoïevski, Paris : Seuil. BAKHTINE, M. (1978), Esthétique et théorie du roman, publication posthume, Paris : Gallimard. BEGIONI L. (2018), « Le concept de système en linguistique : une évidence ou une nouvelle perspective de recherche ? », Studia UBB Philologia, 63(3), pp. 219–226 BERTALANFFY, K. L. von (1973), Théorie générale des systèmes, Paris : Dunod. BLANCHE-BENVENISTE, C. (2010), Approches de la langue parlée en français. Paris : Ophrys. BOUTET, J., FIALA, P. et SIMONIN-GRUMBACH, J. (1976), « Sociolinguistique ou sociologie du langage », Critique, 344, pp. 68–85. BOUTET, J. (dir.) (2005), Paroles au travail, Paris : Éditions l’Harmattan, coll. « Langage et travail ». BRES, J., NOWAKOWSKA, A. et SARALE, J.-M. (2019), Petite grammaire alphabétique du dialogisme, Paris : Classiques Garnier. BUSCH, B. 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(2012), Parcours d’acquisition des sons du langage chez deux enfants francophones, thèse de doctorat de l’Université de la Sorbonne-Nouvelle Paris III. |